Chers amis, ce que je souhaite laisser sur votre cœur, c’est que Jésus-Christ, par Son Esprit, est le serviteur de Dieu qui est mandaté pour nous guider vers le lieu qui est réservé pour nous.
Le dimanche 13 octobre 2019, en apportant ce message dans mon église locale, j’étais loin de m’imaginer que trois mois après, nous allions vivre la pandémie du coronavirus !
Je souhaiterais que nous nous souvenions que la simplicité à l’égard de Christ est souvent le remède pour les cœurs fatigués, chargés, et découragés.
Si nous cherchons à connaître la manière de Dieu de travailler en nous en profondeur, nous avons ici un bon exemple.
Mes yeux sont tombés dernièrement sur un ouvrage intitulé : « Apprendre à prier ». En lisant ce titre, une pensée de l’Esprit s’est imprimée à mon esprit.
Réalisons-nous frères et sœurs, que notre état d’esprit est un facteur déterminant pour notre croissance spirituelle ? Et qu’il peut différer ou annuler les promesses de Dieu ?
En réponse à tout mal-être spirituel, la Parole du Seigneur dit : « Je te conseille d’acheter de moi … un collyre pour oindre tes yeux, afin que tu voies …/… car tu ne sais pas que tu es … aveugle ».
Dans la pensée de Dieu, les ténèbres et la lumière ne peuvent cohabiter. Ces deux entités ne peuvent former qu’une seule, car elles ne sont pas en harmonie.
L’érosion de la falaise par l’océan ne se fait pas en un jour. Il lui faut des dizaines d’années pour entamer la roche et accomplir son œuvre destructrice.
« Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu ? (Actes 9 v. 4 ) ». De tout temps, l’homme a persécuté le Seigneur en allant à l’encontre de Son œuvre.