11. Christ réssucité

11. Christ réssucité

Chap: 11 - La vitalité essentielle d’une vie équilibrée - Ainsi, nous allons être conduits à méditer sur la reproduction d’une vie dans l’Église, appropriée pour un fonctionnement vital et essentiel.

Quand nous en sommes arrivés à nous approprier personnellement les ressources qui sont en Christ pour nous, nous reconnaissons alors qu’il existe, derrière cette appropriation personnelle, un objectif allant bien au-delà de nous-mêmes.

C’est à ce niveau que nous commençons à tourner nos regards non plus vers l’intérieur, mais vers l’extérieur, préoccupés vers ce qui est essentiel : Christ ressuscité et toutes les choses qui ne pourront jamais être ébranlées.

Ainsi, nous allons être conduits à méditer sur la reproduction d’une vie dans l’Église, appropriée pour un fonctionnement vital et essentiel. Sans doute, à juste titre, Adam et Eve ont souvent été considérés comme des représentations de Christ et de son Église. L’ordre qui leur avait été donné fut qu’ils croissent et se multiplient, cette règle s’applique spirituellement à Christ et à l’Église : prospérité, croissance, reproduction.

La vie est une question de confiance, par elle vient le service.

La vie n’est pas juste un contenu à recevoir et à s’approprier jusqu’à être rempli pour le plus grand profit du contenant. La vie est un placement que nous sommes appelés à échanger avec une obligation de lui assurer sa croissance. La vie demande un bon moyen de transmission, renier cette obligation de transmission, c’est violer la vie et être déloyal vis-à-vis du plus grand de tous les placements.

Dans l’histoire du peuple d’Israël réside l’exemple le plus frappant de cette loi. Israël fut choisi pour être une représentation des grandes lois spirituelles auprès de tous les peuples de la terre, et l’existence nationale et territoriale d’Israël fut également l’incarnation d’un principe spirituel, la représentation extérieure de quelque chose de céleste et divin.

Il est facile de reconnaître, en lisant l’Ancien Testament, combien dans la vie d’Israël, la famille tenait une large place et plus la famille était grande et plus le peuple était heureux. N’avoir aucune famille constituait une tragédie et une honte et la vie était considérée comme ratée et gâchée. Le fait était ce qu’il y avait à la surface, et il était difficile de reconnaître ce qui était sous-jacent, mais sur ce point, comme dans beaucoup d’autres, une loi spirituelle y était intégrée.

Israël a été choisi pour reproduire les choses divines.

Le Seigneur avait placé ses choses célestes en Israël, pas pour que ce dernier se les approprie et les garde pour lui, mais pour les échanger et les considérer comme un service rendu. Les oracles de Dieu devaient servir. Les bénédictions de Dieu sur Israël devaient servir au monde entier. La grande promesse faite à Abraham fut que toutes les familles de la terre soient bénies par sa descendance. L’alliance avec Abraham était destinée au bien commun et pour la bénédiction du genre humain, et dans l’alliance de cette promesse, tous les éléments d’un service y étaient intégrés.

Israël échoua dans la confiance placée en lui et scella ainsi sa propre chute, ce qui est symbolisé par le figuier stérile : le Seigneur Jésus qui avait faim s’approcha du figuier, espérant y trouver du fruit, mais Il n’y trouva que des feuilles. Nous savons que ce figuier représentait Israël. Jésus maudit le figuier qui sécha.

Ainsi, avec la fin de la vie de Christ ici-bas, Israël est passé à côté de son rôle de serviteur de Dieu et ne l’a pas retrouvé depuis. La confiance placée en Israël a disparu et a été transférée : L’Éternel dit : « Le royaume des cieux sera retranché du milieu de toi et donné à une nation qui en portera les fruits » (Matthieu 21 v. 43). Ce qui est une manière de dire : « Tu as échoué à porter le fruit qui t’était proposé et confié ; tu as failli dans ton service ; tu as été stérile au lieu de porter du fruit ; tu as scellé ton propre sort, parce que tu as manqué à la vocation pour laquelle tu as été appelée ! »

Un organisme n’est jamais une fin en soi ; il n’est rien en lui-même. Il n’est qu’un moyen pour arriver à quelque chose de plus grand, un instrument en vue d’horizons plus lointains. La raison d’être d’un organisme est de se reproduire par la vie.

Cette reproduction exige toujours un sacrifice ; elle coûte toujours pour que l’instrument utilisé se soumette de lui-même. Ce qui veut dire clairement que le moyen de grandir, c’est la mort. La reproduction demande un sacrifice. Ce qui nous conduit au passage de l’Écriture où le Seigneur fait un raccourci de sa relation avec les siens, comme résultat de sa venue dans ce monde : « À moins que le grain de blé qui tombe à terre ne meure, il reste seul ; mais s’il meurt, il portera beaucoup de fruits. Celui qui aime sa vie la perdra ; celui qui hait sa vie dans ce monde, la gardera jusque dans l’éternité » (Jean 12 v. 24 et 25).

Ces versets confirment tout ce que nous avons dit : Si la vie ne se propage pas, elle est sans effet, elle est une fin en soi et aucun organisme porteur de vie n’est destiné à cela… La loi de la croissance, c’est le sacrifice : le grain de blé tombé en terre meurt. Il n’y aura ni propagation, ni croissance, ni reproduction, sauf si vous quittez tout ce qui est personnel, dans l’intérêt de ce qui est autre et plus.

Sens et valeur du Christ ressuscité : la vie intime.

Christ ressuscité doit être une réalité dans l’intimité et dans l’expérience intérieure du chrétien. La vie de résurrection du Seigneur doit résider en nous, par sa vie, par son Esprit de vie.

Le sens et la valeur résident dans la reproduction de la vie de Christ en tous ceux où Il demeure. Tous ceux chez qui Il demeure dans la puissance de sa vie de résurrection, doivent devenir une expression de Christ et de sa manifestation dans la puissance de cette vie. C’est la reproduction de la vie de Christ en nous que Dieu demande, pas la reproduction d’un système religieux.

La loi de reproduction, en nous, fait qu’il nous faut mourir nous-mêmes, accepter l’état de mort, de telle sorte que toute vie personnelle, tout intérêt personnel est ôté, séparé, fini ; ou Christ devient toute chose spirituelle. Paul le dit bien : « J’ai été crucifié avec Christ, ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi ». Voilà bien l’expression de Christ manifestée, parce que toute vie qui n’est pas de Christ a été soumise à la croix et est morte. Elle est ensevelie dans le tombeau du Seigneur Jésus, et de ce tombeau Jésus se manifeste.

Par notre union avec Christ dans sa mort, nous finissons nos œuvres et Il commence les siennes. Dès ce commencement, Il est le tout. C’est basique mais aussi progressif : il nous faut l’accepter pleinement comme un état de fait basé sur un acte volontaire, sur une prise de position consciente et définitive. Maintenant, en acceptant notre union avec Christ dans sa mort, il n’y a plus aucune place pour nous-même ; chaque fois que nous remettrons notre propre vie en évidence, nous serons frappés, mis de côté, bloqués, sans possibilité d’avancer.

Nous devons accepter cela une fois pour toutes par un acte d’engagement clair : à partir de là, tout ce qui est de l’ego sera traité sans ménagement avec cette croix. Ainsi, comme le moi n’aura plus le droit d’exister, il vaudrait mieux le faire une fois pour toutes, dans un face à face intime avec le Seigneur ; pour qu’Il puisse donner son propre sens dans cette nouvelle réalité, notre tentative d’appropriation du « je », qui doit être interdit.

Ainsi se révélera beaucoup plus de notre « je » que ce que notre pensée ou notre imagination en perçoit. Le « moi », pas comme nous le connaissons, mais comme Il le connaît depuis toujours, doit être soumis au pouvoir de la croix par un acte délibéré et volontaire. C’est la base…

Ensuite, il y a une progression : mourir chaque jour, en portant toujours dans son corps la mort du Seigneur Jésus. Cela, quoiqu’il nous arrive dans la journée, de telle sorte que sa mort est un processus journalier, où le « moi » est renié en fonction de notre acceptation initiale. Par cette soumission de notre personne au sacrifice sur la croix, la vie de Christ se développe et se reproduit. Par la puissance de sa vie, Il grandit en nous pendant que nous diminuons.

Chaque fois que nous serons face à une situation difficile, si nous nous mettons de côté, en y répondant favorablement, une nouvelle occasion de croissance de Christ en nous se produira. En acceptant une nouvelle mesure du sens de sa mort, il y aura une mesure plus grande de lui dans sa vie de résurrection. Ainsi donc, la valeur de Christ ressuscité dans notre vie intime, c’est la reproduction. Il n’existe aucune autre voie pour faire des chrétiens selon le Nouveau Testament, que cette voie-là…

L’accroissement du nombre de ceux qui appartiennent à Christ ne se fait pas par ajout d’éléments extérieurs, mais en mourant au pied de la croix : c’est le seul moyen. Il n’existe aucune croissance pour un chrétien sur une autre base que celle-là : Mort et ressuscité ensemble avec Christ.

Tout ce qui est vivant est une nécessité.

Structurer le christianisme, la vérité chrétienne et l’organisation chrétienne, pour l’appliquer comme un système, est contraire à la pensée de Dieu.

La reproduction se fait uniquement par la vie : ni par la vérité érigée en système doctrinal, ni par l’émergence d’un ordre chrétien, mais par la nécessité de la vie de résurrection de Christ.

La nature de l’Église, sa constitution.

L’Église n’est ni constitué d’un credo, ni de croyances, ni de l’adhésion à des doctrines. Elle ne se constitue pas par des demandes aux gens de se joindre à elle pour en être membres ou adhérents, mais par la transmission de la vie de résurrection du Seigneur. Sa règle d’accroissement est la reproduction par la mort et la résurrection.

La croissance de l’Église peut se faire de deux manières, l’une mauvaise et l’autre bonne : L’une est l’imitation à partir d’un modèle ou d’un moule où on se développe et on se multiplie par imitation, en consolidant des traditions d’hommes. Ce n’est certainement pas la croissance ou le mode de reproduction selon le Nouveau Testament. L’autre est la conception : la vie se développe de l’intérieur dans une forme qui s’exprime librement et puissamment.

La différence entre imitation et conception est la même que celle qui existe entre ce qui est mort et ce qui est vivant : l’une est fabriquée, l’autre est née miraculeusement. La constitution de l’Église est le résultat de l’activité et de l’énergie d’une puissante vie, celle de la résurrection du Seigneur lui-même, transmise et transférée.

Quel que soit votre niveau de développement, la véritable Église ne grandira jamais, tant que la vie de Christ ne sera pas opérationnelle et en mesure suffisante pour être transmise par l’Esprit de Dieu.

Son organisation.

Le même principe s’applique pour l’organisation de l’Église. Son ordonnancement découle uniquement de la vie de Christ. Là aussi, deux alternatives sont possibles :

  • Vous pouvez officialiser un ministère et le consacrer avec des noms ou des titres, avec des fonctions ou des missions, avec des responsabilités. Vous pouvez élire quelqu’un dans une responsabilité en l’établissant au sein de l’organisation dans des réglementations humaines.
  • Vous pouvez aussi être guidé par la loi de la vie, et ainsi tenir compte de l’œuvre et de l’expression de la vie d’en haut en chacun des membres, pour en discerner les signes de certaines capacités spirituelles. Par une manifestation claire et spontanée, par le résultat de la vie du Seigneur œuvrant en chaque membre, l’Église sera interpellée pour prendre en compte le fait que telle ou telle personne est qualifiée spirituellement pour tel ou tel ministère.

Le ministère ne vient pas d’une capacité naturelle, d’une facilité naturelle, du bon vouloir, ou d’une formation appropriée à ce ministère ; mais d’une manifestation de vie spirituelle, d’une empreinte spirituelle bien spécifique qui vient du ciel.

Ensuite, le peuple de Dieu le prend en compte en disant : « Il est évident que Dieu a donné ce don à cette personne, nous devons l’aider à exprimer et développer son ministère… ! » Ainsi, laissant de côté toute considération de la sagesse humaine, l’Église se met peu à peu en place et se structure conformément à la lignée de vie.

Le fameux passage d’Éphésiens peut poser question : « Il a donné des apôtres, des prophètes, des évangélistes, des pasteurs et des docteurs, pour le perfectionnement des saints et pour l’œuvre du ministère… ». Quand le Seigneur l’a fait, l’a-t-Il annoncé à l’Église ? A-t-il dit : « J’ai suscité à présent, définitivement au milieu de vous, tel individu comme apôtre, prophète, évangéliste, pasteur ou docteur ? »

Non, son don a été d’abord secret, ne se manifestant que lorsque les croyants venaient à lui et se développaient d’une certaine manière : c’était la réalité en général. La permanence de son organisation divine n’était ni automatique, ni officielle, ni religieuse, mais vitale, vivante et spirituelle, comme un fruit de l’obéissance. L’ordre véritable était manifestation de vie.

Ceci est un point capital : le Seigneur ne laisse pas cet ordre entre nos mains pour nommer des ministères ou pour « faire » le ministère. Le Seigneur fait grandir le ministère par la vie de Christ, et l’Église doit le prendre en compte. Il peut être tout à fait exact que la nomination soit de Dieu, mais il peut être aussi vrai que ce soit engendré par la vie avant l’entrée en fonction du ministère. C’est en partie la raison pour laquelle Barnabas et Paul furent maintenus aussi longtemps à Antioche.

Paul était clairement appelé et choisi comme apôtre, car toutes les caractéristiques de l’apôtre étaient en lui, il avait vu le Seigneur ressuscité dès le départ. Mais par une décision souveraine et par la mission qui lui avait été donnée, il devait d’abord se rendre à Damas pour qu’on lui dise ce qu’il avait à faire comme membre de l’assemblée ; il devait attendre à Antioche comme simple membre pendant plus d’une année. Même là, le Seigneur n’est pas venu vers Saul et Barnabas, son compagnon, en disant : « Maintenant, entrez dans l’œuvre à laquelle je vous ai appelée, je vous ai choisie ! Allez-y et agissez ! »

Non, le Seigneur donna une direction par les membres responsables de l’assemblée d’Antioche : « Mettez-moi à part Barnabas et Paul pour l’œuvre à laquelle Je les ai appelés » (Actes 13 v. 2). L’Église était alors prête à le faire, pas seulement sur la base d’un commandement légaliste, mais parce qu’il avait été prouvé au milieu d’eux qu’ils étaient bien appelés à ce ministère. Par la vie révélée dans l’assemblée, il était évident pour tous qu’ils étaient appelés à ce ministère. Dieu utilise ce moyen pour révéler ses ministères.

Ce qui nous amène à un autre point. Vous ne pouvez savoir quel est votre ministère tant que vous n’avancez pas avec le Seigneur. Vous pouvez avoir été choisi souverainement par Dieu et en même temps ne rien connaître encore de votre ministère, mais vous ne pourrez réellement reconnaître ce ministère que si vous allez de l’avant avec lui dans votre vie.

Pendant que cette vie grandit en vous, et que votre communion avec le Seigneur avance à découvert dans toute sa valeur et sa signification, vous découvrirez que le Seigneur agit en vous dans une certaine direction et que vous vous entraînez à ce ministère.

Personne ne discerne vraiment son ministère du fait que quelqu’un le lui a dit auparavant. Nous ne le discernons que lorsque nous marchons avec Dieu, guidé par sa vie. C’est vraiment important, car le ministère dépend de cette vie. Il ne repose nullement sur quelque chose de mécanique : impossible de « fabriquer » des ministères ; seul Christ ressuscité peut le faire dans la puissance de sa vie de résurrection.

La croissance de l’Église.

Comme déjà évoqué, nous insistons en disant que la croissance de l’Église repose sur le principe de vie. Nous ne pourrons jamais traiter les gens en les rassemblant, en leur demandant d’accepter certaines théories sur Christ pour les constituer en églises.

Le Seigneur ne nous a pas appelés à constituer des églises, ce n’est pas notre affaire ! C’est l’affaire de Dieu… Si cela avait été reconnu, la situation de l’Église serait bien différente de nos jours. Le Seigneur seul élargit son Église et guide sa croissance par sa propre vie de résurrection.

Ce que nous avons à faire : vivre à la place prévue pour nous, par la puissance de sa résurrection. Si, au milieu de son peuple, Dieu peut trouver 2 ou 3 de ses enfants, en qui la vie agit librement et totalement, sans chercher à tout prix à en réunir d’autres à eux, à certaines vérités ou à certains enseignements, mais en leur témoignant simplement de ce que Christ représente pour eux, alors la voie leur est ouverte…

Si nous témoignons avec simplicité et de manière vivante, l’un sera incité à dire au bout d’un certain temps : « Je veux ce qu’ils ont ! » l’autre dira : « j’envie » leur expérience et c’est d’ailleurs ce que je cherche… ! » Ces personnes chercheront le chemin du salut et une opportunité se présentera de les conduire au Seigneur.

C’est ainsi que l’Église grandira !

Sa croissance se produira au coin d’une rue : si vous prêchez Christ, une personne répondra : en croyant à Christ du cœur et en confessant de sa bouche le Seigneur, la vie se répandra par l’Esprit et cette personne appartiendra au Seigneur.

L’Église ne grandira jamais en allant construire un bâtiment, en tentant d’y faire venir des gens à des réunions, en voulant le faire entrer dans un système pour en faire des membres de notre église locale. Ce n’est pas la bonne voie. La nouvelle naissance et toute croissance spirituelle, découle de la vie de Jésus-Christ.

C’est ainsi que grandit l’Église : le Seigneur a besoin de ses instruments de vie, de ses centres vitaux. Soit Christ sera clairement et définitivement rejeté, soit il y aura un ajout, un développement. La vie contient une puissance fantastique : soit elle détruit, soit elle vivifie : tout dépend de notre attitude. Elle représente une saveur de vie pour la vie, ou une saveur de mort pour la mort. Cette situation n’est jamais neutre. Le Seigneur a besoin d’organes vitaux.

Le minimum indispensable, seul moyen adéquat, c’est deux personnes qui sont un dans la vie de Christ, deux en qui existe une coopération de vie. Il les envoya toujours deux par deux : c’est le noyau de l’Église. Ce sont précisément ces deux-là que l’ennemi tentera de réduire à néant, de séparer pour les ruiner spirituellement jusqu’à les tuer.

Rappelez-vous-en ! Le Seigneur a l’avantage s’il existe une communion entre deux personnes.

Nous pouvons voir à présent à quel point il est capital que nous puissions saisir et tirer toutes les ressources du Seigneur ressuscité, et voir combien les ressources spirituelles secrètes de sa vie de plénitude devraient être à la base de toutes nos vies. L’objectif de ces moyens et ressources ne s’arrête pas à nous-mêmes, pour nous-mêmes, car si nous les utilisons dans ce but, nous mourrons.

L’objectif est la reproduction de sa vie de résurrection : « Dieu les bénit, et Dieu leur dit : Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, et l'assujettissez ; et dominez… » (Genèse 1 v. 28).

 

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