3. Le chemin  de la  croissance  spirituelle

3. Le chemin de la croissance spirituelle

Chap: 3 - La Pâque (Exode 12) - Le premier type dans cette série est la Pâque. Sa signification est soulignée de manière impressionnante par les paroles de l’Éternel : « Ce mois-ci sera pour vous le commencement des mois ; il sera pour vous le premier des mois de l’année » (Exode 12 v. 2).

En image, cela souligne la nécessité d’un nouveau commencement dans la vie de tout homme. Moïse et Aaron, selon Hébreux 3 v. 1, un double type du Seigneur Jésus comme « apôtre et souverain sacrificateur de notre confession », sont ainsi ceux qui enseignent et qui conduisent le peuple de Dieu (*).

(*) On trouve encore de tels doubles types en Joseph et Benjamin, qui typifient le Seigneur Jésus comme Messie, glorifié et d’abord méprisé, de même que David et Salomon comme types du roi rejeté puis sur le trône.

Avant qu’un homme puisse faire le premier pas sur le chemin de la croissance, il doit d’abord faire un tout nouveau commencement. Celui-ci peut être vu de deux côtés : du côté de Dieu, c’est la nouvelle naissance ; du côté de l’homme, c’est la conversion. Ici, il s’agit du second, le côté de l’homme. Conversion signifie retour – retour vers Dieu, d’un chemin erroné dans le péché et la propre volonté. Le demi-tour précède la connaissance d’être un pécheur perdu.

Ce n’est qu’à ce moment-là que l’homme peut revenir à Dieu, se repentir de ses péchés et croire au Seigneur Jésus, qui par amour pour nous a porté le châtiment de Dieu pour nos péchés. La vérité de la Bible qui s’y rattache : le pardon de la culpabilité, la justification du pécheur et la mise à l’abri du jugement éternel, nous est présentée en image dans la Pâque. La Pâque est par conséquent un merveilleux type du Seigneur Jésus comme l’Agneau de Dieu, dont le sang nous a apporté la rédemption éternelle.

Le terme hébreu à la racine du mot Pâque, (pessach), signifie « passer par-dessus ». L’occasion en a été la dernière des dix plaies en Égypte. Dans la nuit du quatorzième jour du premier mois, Dieu voulut faire mourir tous les premiers-nés dans tout le pays d’Égypte et exercer « des jugements sur tous les dieux de l’Égypte » qui étaient aussi honorés par les Israélites (Exode 12 v. 12 ; Josué 24 v. 14 ; Ézéchiel 20 v. 8). Non seulement les maisons des Égyptiens, mais aussi celles des Israélites étaient sous la menace de ce jugement. Il n’est en effet pas dit, au verset 5 du chapitre 11 : « tous les premiers-nés des Égyptiens… », mais « tout premier-né dans le pays d’Égypte mourra ». Les premiers-nés, dont Dieu avait déjà annoncé l’arrêt de mort en Exode 4 v. 23, sont ici les représentants de l’ensemble, car dans le verset précédent, Dieu avait dit de l’ensemble de son peuple : « Israël est mon fils, mon premier-né », et en Hébreux 12 v. 22, l’assemblée néotestamentaire (*) est appelée « l’assemblée des premiers-nés ». La sanctification pour l’Éternel de tous les premiers-nés, ordonnée dans le chapitre suivant (Exode 13 v. 2), doit aussi être comprise sous ce seul point de vue. Les premiers-nés représentent tout le peuple.

(*) Le concept néotestamentaire « Assemblée » (grec : ekklesia) englobe toujours tous les croyants de l’époque actuelle, que ce soit selon le conseil de Dieu de toute éternité, universellement ou localement pour le temps présent.

Mais Dieu indiqua lui-même un moyen de salut : l’agneau pascal. Tout Israélite devait tuer un agneau pour lui personnellement et pour sa maison. Puis il devait en mettre le sang sur les deux poteaux et sur le linteau de sa maison et finalement tous les membres de la famille devaient manger la chair de l’agneau rôtie au feu.

La mise à mort de l’agneau et son sang évoquent deux choses qui sont de la plus haute importance dans les Saintes Écritures : la mort et l’effusion du sang. Elles parlent du fait que le Seigneur Jésus est mort pour nous. Tous deux sont inséparablement unis l’un à l’autre, mais sont cependant différenciés l’un de l’autre dans le Nouveau Testament.

Par la mort du Seigneur Jésus, nous sommes réconciliés avec Dieu (Romains 5 v. 10 ; Colossiens 1 v. 22), par son sang, nous sommes justifiés, sauvés et purifiés (Romains 5 v. 9 ; Éphésiens 1 v. 7 ; Hébreux 9 v. 14 ; 1 Pierre 1 v. 19 ; 1 Jean 1 v. 7).

Nous voyons dans l’agneau pascal immolé et dans son sang répandu, un type de Christ et du don de lui-même à la croix (*). Paul nomme expressément le Seigneur Jésus : « notre Pâque » (1 Corinthiens 5 v. 7), mais plutôt sous l’aspect du principe. Il ne dit pas : « Nous avons sacrifié et mangé Christ, notre Pâque », c’est-à-dire : accepté personnellement pour nous par la foi (comme cela est décrit de manière si expressive dans le type d’Exode 12), mais : « Car aussi notre pâque, Christ, a été sacrifiée… ».

(*) Bien que des milliers d’agneaux aient dû être sacrifiés, il est toujours écrit dans tout le chapitre 12 « l’agneau », au singulier. Tous les agneaux évoquent le seul « Agneau de Dieu ».

En Exode 12 v. 5 il est parlé d’un agneau « sans défaut », mais Pierre dit du Seigneur Jésus : « un agneau sans défaut et sans tache » (1 Pierre 1 v. 18 et 19), car il est à tous égards, parfait. Il est « l’agneau de Dieu qui ôte le péché du monde » (Jean 1 v. 29). Il paraîtra à nos yeux dans la gloire au milieu du trône de Dieu tel « un agneau comme immolé », et sera l’objet éternel de notre adoration parfaite et ininterrompue (Apocalypse 5 v. 6).

La valeur du sang.

La description de la Pâque en Exode 12, nous montre différentes choses importantes. Premièrement, c’est « la pâque de l’Éternel » (Exode 12 v. 11). On oublie facilement le fait exprimé dans ces paroles. Nous pensons trop souvent à nous, et oublions que la première place revient à Dieu et à sa gloire. N’est-ce pas éloquent que, lors de la première mention d’un agneau dans la Bible, il soit dit : « Dieu se pourvoira de l’agneau pour l’holocauste » (Genèse 22 v. 8) ? Abraham ne dit pas : « Dieu pourvoira », mais « Dieu se pourvoira ». L’œuvre du Seigneur Jésus à la croix était premièrement pour la gloire de Dieu et pour la satisfaction de ses justes exigences concernant le péché.

Par la mort et par l’effusion du sang de Christ, non seulement toutes ses saintes revendications à l’égard des hommes pécheurs ont été accomplies, mais par elles, il a aussi été glorifié. Dieu y a trouvé une base parfaitement juste pour offrir le salut à tous les hommes.

Deuxièmement, Dieu montrait pour la première fois aux hommes, dans la Pâque, qu’ils ne pouvaient trouver que par le sang, un abri contre le jugement : « Sans effusion de sang il n’y a pas de rémission » (Hébreux 9 v. 22 ; comp. Lévitique 17 v. 11). Ce principe se discerne déjà dans les vêtements de peau dont Dieu revêtit Adam et Eve et dans l’offrande d’Abel, bien qu’il n’y soit pas encore mentionné. À partir de maintenant, il prend une place importante dans les Saintes Écritures. Il n’a trouvé cependant sa pleine révélation que lorsque le sang précieux de Jésus-Christ fut répandu. Lors de l’institution de la cène, le Seigneur tendit aux onze disciples la coupe avec ces paroles : « Buvez-en tous. Car ceci est mon sang, le sang de la nouvelle alliance, qui est versé pour plusieurs en rémission de péchés » (Matthieu 26 v. 27 et 28).

Cependant, le sang de Christ n’a pas été répandu seulement pour le pardon des péchés. Il a plus à nous dire. C’est aussi le prix que le Seigneur Jésus a payé pour nous délivrer du jugement éternel (Éphésiens 1 v. 7 ; Tite 2 v. 14 ; Hébreux 9 v. 11 et 12 ; 1 Pierre 1 v. 18 et 19). Par « l’aspersion du sang de Jésus-Christ » (1 Pierre 1 v. 2), nous sommes pour toujours purifiés de la souillure du péché, car Dieu nous voit en quelque sorte sous l’aspersion du sang de Christ, par le sacrifice duquel il a été si parfaitement glorifié.

Finalement, le sang de Christ nous a ouvert l’accès jusqu’à Dieu comme à notre Père (Éphésiens 2 v. 13 ; Hébreux 10 v. 19). Toute la valeur du sang précieux de Christ, l’Agneau de Dieu, ne pouvait pas encore être déployée entièrement dans le type de la Pâque. L’enseignement essentiel de la Pâque demeure la délivrance du jugement de Dieu par le sang de l’agneau. Qu’il en soit béni éternellement !

Les versets de Romains 3 v. 21 à 5 v. 11, traitent aussi de la valeur immense du sang de Christ et de ses effets bénis, et nous pouvons les comparer avec la Pâque. Nous y lisons que Dieu a présenté Christ « pour propitiatoire, par la foi en son sang, afin de montrer sa justice… dans le temps présent, en sorte qu’il soit juste et justifiant celui qui est de la foi de Jésus » et que nous sommes « maintenant justifiés par son sang » (Romains 3 v. 25 et 26 ; 5 v. 9). Être justifié signifie que, pour celui qui confesse ses péchés devant lui et qui croit au Seigneur Jésus, il n’y a plus de jugement, mais qu’il est considéré comme juste par Dieu, comme s’il n’avait jamais commis de péché. La justification, de même que le pardon, concerne donc nos péchés, c’est-à-dire nos actes coupables. Étant justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu, une paix que le Seigneur Jésus a faite « par le sang de sa croix » (Colossiens 1 v. 20). Étant justifiés, nous possédons aussi la vie de résurrection du Seigneur Jésus. Notre justification est une « justification de vie », parce que Christ n’a pas seulement été livré pour nos fautes, mais il a aussi été ressuscité pour notre justification (Romains 4 v. 25 ; 5 v. 18 ; 6 v. 4 et 11).

La célébration de la Pâque en Exode 12 est ainsi une image de l’acceptation de l’œuvre de la rédemption de Christ par une foi sincère.

Dans chaque maison, l’agneau devait être immolé et chaque premier-né en Israël devait personnellement chercher refuge sous le sang pour être à l’abri du jugement de Dieu. Le destructeur passait uniquement par-dessus les maisons où l’on voyait le sang sur les portes. Chose merveilleuse : Dieu annonce le jugement, mais il indique aussi le moyen par lequel les Israélites peuvent rester épargnés de ce jugement. Un agneau innocent doit mourir à la place du premier-né et son sang protège celui-ci du juste châtiment de Dieu.

Par la suite, la fête de la Pâque fut renouvelée chaque année, mais avec une différence fondamentale : le sang ne devait plus être appliqué sur les portes (comp. Lévitique 23 v. 5). Le fait que la première Pâque en Exode 12 est une image de l’œuvre de la rédemption accomplie de Christ est ainsi mis en évidence.

Toutes les fêtes qui suivirent avaient pour but de maintenir le souvenir de la rédemption et sont, en cela, une image appropriée de la cène du Seigneur, que nous pouvons célébrer chaque premier jour de la semaine, jusqu’à son retour. Beaucoup d’Israélites ont peut-être tremblé dans leur maison malgré la présence du sang, et craint malgré tout de ne pas être épargnés du terrible jugement. Mais Dieu n’avait pas dit : « vous verrez le sang… », mais « je verrai le sang, et je passerai par-dessus vous » (Exode 12 v. 13).

Le plus important était non pas leur compréhension ou leur appréciation du sang, mais l’obéissance de la foi avec laquelle ils faisaient ce que Dieu leur avait commandé. Ils étaient en sécurité parce que Dieu le leur avait promis, non en raison de ce qu’ils ressentaient.

Aujourd’hui aussi, beaucoup d’enfants de Dieu se tourmentent en se demandant s’ils sont réellement sauvés pour l’éternité, parce qu’ils regardent à eux-mêmes, et non au sang de l’Agneau de Dieu. En revanche, qu’il est heureux celui qui, par la foi, a trouvé son refuge dans le sang précieux de Christ, l’Agneau immolé ! Notre rédemption par son sang est une « rédemption éternelle » (Éphésiens 1 v. 7 ; Hébreux 9 v. 12). La valeur de son sang ne sera jamais oubliée. Dans la gloire du ciel, les rachetés loueront un jour dans une paix parfaite l’Agneau au milieu du trône de Dieu : « Tu as été immolé, et tu as acheté pour Dieu par ton sang, de toute tribu, et langue, et peuple, et nation ; et tu les as faits rois et sacrificateurs pour notre Dieu… » (Apocalypse 5 v. 9 et 10 ; comp. 1 v. 5 et 6).

Pas délivré ?

Cependant, ce que la Pâque nous enseigne n’est pas tout ce que Dieu veut donner, en Christ, à ceux qui croient en lui. Celui qui croit au sang du Seigneur Jésus est certes parfaitement sauvé pour l’éternité (Éphésiens 1 v. 7). Mais pour notre vie de foi sur la terre, le sang de Christ tout seul ne nous donne pas une véritable délivrance. Pour jouir d’une paix réelle et d’une communion permanente avec le Seigneur Jésus et avec le Père, nous avons besoin de quelque chose de plus.

Nous devons savoir non seulement que, par le sang de Jésus, nous sommes justifiés devant Dieu quant à nos péchés, mais aussi que, par sa mort et par sa résurrection, nous avons été retirés du monde et avons passé de la position de pécheurs à la position de justes (Romains 5 v. 19).

Lorsque, à l’occasion de la Pâque, les Israélites se nourrissaient de l’agneau, dont le sang avait mis les premiers-nés à l’abri de la mort, ils étaient encore en Égypte. Dieu allait les conduire, certes, durant cette nuit vers une délivrance définitive.

Mais aussi longtemps qu’ils ne se trouvaient pas en liberté, les pains sans levain qu’ils mangeaient – en fait, une image de la sainteté et de la pureté de Christ – étaient pour eux des « pains d’affliction » (Exode 12 v. 8 ; Deutéronome 16 v. 3 ; 1 Corinthiens 5 v. 8).

Pour les croyants qui se contentent de « la Pâque », la conscience est dans un premier temps apaisée, parce qu’ils regardent au sang de Christ, et nous l’affirmons fermement : c’est assurément le seul moyen par lequel nous pouvons subsister devant Dieu. Mais bien qu’ils croient réellement, ils voient encore souvent Dieu comme le juge impitoyable. En conséquence, ils ne jouissent pas d’une paix solide. Au moment où ils perdent de vue le sang, ils voient en outre la puissance de l’ennemi qui essaie toujours de les lier à lui par les anciennes chaînes et attaches. Ils tombent alors dans un état tel que celui d’Israël lors de sa sortie d’Égypte, devant lui la mer Rouge et la mort, derrière lui le Pharaon avec son armée.

Aussi longtemps qu’un chrétien se limite au sang de Christ et au pardon de ses péchés, il ne va pas plus loin dans sa vie spirituelle qu’Israël en Égypte – bien qu’il appartienne pour toujours à Dieu.

Cependant, pour Israël, la Pâque n’était pas le but, elle était seulement la première étape sur le chemin d’une bénédiction merveilleuse et complète. Lorsque l’Éternel avait parlé à Moïse du milieu du buisson ardent, il avait promis de conduire Israël « dans un pays ruisselant de lait et de miel » (Exode 3 v. 8). Il n’avait rien mentionné de tout ce qui se trouvait entre l’Égypte et Canaan. Nous voyons là quelle était l’intention spécifique de Dieu pour son peuple terrestre. Il voulait non seulement sauver, mais aussi bénir. Il n’en est pas autrement dans le temps actuel.

Pourquoi tant de chrétiens se trouvent-ils dans un tel état d’incertitude et d’insécurité spirituelle ? Ils n’ont pas encore compris la signification de la mort et de la résurrection de Christ. Comme pécheurs, ils se sont réfugiés à l’abri de son sang, mais ils n’ont pas encore compris que seule la foi en sa mort et en sa résurrection donne une réelle délivrance.

En quelque sorte, la résurrection est le sceau que Dieu a imprimé sur l’œuvre accomplie de son Fils, elle est la preuve de l’expiation de tous les péchés. Tout ce qui pouvait nous condamner est resté dans le tombeau de Christ.

Le plein Évangile du salut inclut non seulement notre justification par le sang de Christ, mais aussi les conséquences bénies de sa mort et de sa résurrection.

Là où ceci n’est pas prêché ou pas connu, une lacune très importante subsiste. Le Seigneur Jésus est mort pour nous, mais le fait que par sa propre mort, il a vaincu pour toujours la mort comme telle, n’a été révélé que par sa résurrection : par elle il « a annulé la mort et a fait luire la vie et l’incorruptibilité par l’évangile » (2 Timothée 1 v. 10). C’est un état au-delà du péché et de la mort qui était jusqu’alors tout à fait inconnu de l’homme. Le péché et la mort n’ont plus aucun pouvoir sur cette « vie de résurrection ».

Ce plein Évangile, nous le trouvons en 1 Corinthiens 15 v. 1 à 4 : « Or je vous fais savoir, frères, l’évangile que je vous ai annoncé, que vous avez aussi reçu, et dans lequel vous êtes, par lequel aussi vous êtes sauvés, si vous tenez ferme la parole que je vous ai annoncée, à moins que vous n’ayez cru en vain. Car je vous ai communiqué avant toutes choses ce que j’ai aussi reçu, que Christ est mort pour nos péchés, selon les écritures, et qu’il a été enseveli, et qu’il a été ressuscité le troisième jour, selon les écritures ».

D’autres passages confirment la signification de la résurrection de notre Seigneur, tels que Romains 4 v. 24 et 5 v. 1 : « … nous qui croyons en celui qui a ressuscité d’entre les morts Jésus notre Seigneur, lequel a été livré pour nos fautes et a été ressuscité pour notre justification. Ayant donc été justifiés sur le principe de la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ », et Romains 6 v. 4 : « …comme Christ a été ressuscité d’entre les morts par la gloire du Père… » (comp. en outre Actes 17 v. 18 ; Romains 8 v. 34 ; 2 Corinthiens 5 v. 15 ; 1 Thessaloniciens 4 v. 14 ; 1 Corinthiens 15 v. 17 ; 1 Pierre 1 v. 3).

C’est pourquoi la compréhension de la traversée de la mer Rouge, qui nous est présentée dans le type qui suit, est si importante pour notre croissance spirituelle et pour une vie spirituelle heureuse et vigoureuse. Malheureusement, la vérité néotestamentaire qu’elle renferme n’est pas comprise par beaucoup de croyants. Il s’agit ici de la délivrance du monde, domaine de la puissance de Satan, et de la fin de notre position précédente comme pécheur. Tout cela est le résultat de la mort et de la résurrection du Seigneur Jésus.

 

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