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Connaissons-nous la crainte de Dieu ?
- Frédéric
-
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il y a 3 jours 19 heures #1
par Frédéric
Quand le psalmiste vit la transgression du méchant, son cœur lui dit comment cela pouvait être. « Il n’y a pas de crainte de Dieu devant ses yeux » (Psaume 36 v. 1) ; expliqua-t-il, et en disant cela, il nous révéla la psychologie du péché. Lorsque les hommes ne craignent plus Dieu, ils transgressent ses lois sans hésitation. La peur des conséquences n’est pas dissuasive lorsque la crainte de Dieu a disparu.
Autrefois, on disait des hommes de foi qu’ils « marchaient dans la crainte de Dieu » et qu’ils « servaient le Seigneur avec crainte ». Quelle que soit l’intimité de leur communion avec Dieu, peu importe l’audace de leurs prières, à la base de leur vie religieuse se trouvait la conception d’un Dieu impressionnant et redoutable. Cette idée d’un Dieu transcendant transparaît dans toute la Bible et donne couleur et ton au caractère des saints. Cette crainte de Dieu était plus qu’une appréhension naturelle du danger ; c’était une crainte irrationnelle, un sentiment aigu d’insuffisance personnelle dans la présence de Dieu le Tout-Puissant.
Partout où Dieu est apparu aux hommes dans les temps bibliques, les résultats ont été les mêmes : un sentiment écrasant de terreur et de consternation, une sensation déchirante de péché et de culpabilité.
Quand Dieu parlait, Abram s’étendait par terre pour écouter (Genèse 17 v. 3 et 17). Quand Moïse vit le Seigneur dans le buisson ardent, il cacha son visage par crainte pour regarder Dieu (Exode 3 v. 6). La vision de Dieu qu’Ésaïe avait de lui, le fit s’écrier : « Malheur à moi ! » et confesser : « Je suis perdu, car je suis un homme aux lèvres impures » (Ésaïe 6).
La rencontre de Daniel avec Dieu fut probablement la plus terrible et la plus merveilleuse de toutes. Le prophète leva les yeux et vit Celui dont le « corps était comme du chrysolithe, et son visage comme l’aspect d’un éclair, et ses yeux comme des lampes de feu, et ses bras et ses pieds comme de l’airain poli, et la voix de ses paroles comme la voix d’une multitude ». « Moi, Daniel, je vis seul la vision », écrivit-il plus tard, « car les hommes qui étaient avec moi ne virent pas la vision ; mais un grand tremblement tomba sur eux, de sorte qu’ils s’enfuirent pour se cacher. Je restai donc seul, et je vis cette grande vision, et il ne me resta plus aucune force, car ma beauté fut changée en corruption, et je n’avais plus de force. J’entendis cependant la voix de ses paroles ; et quand j’entendis la voix de ses paroles, je tombai dans un profond sommeil, la face contre terre » (Daniel 10 v. 7 à 9).
Ces expériences montrent qu'une vision de la transcendance divine met rapidement fin à toute controverse entre l'homme et son Dieu. L’homme ne se bat plus et il est prêt, comme Saul vaincu, à demander docilement : « Seigneur, que veux-tu que je fasse ? » (Actes 9 v. 6).
À l’inverse, l’assurance des chrétiens modernes, la légèreté fondamentale présente dans tant de nos rassemblements religieux, le manque de respect choquant démontré envers la personne de Dieu, sont des preuves suffisantes d’un profond aveuglement du cœur.
Beaucoup se réclament du nom de Christ, parlent beaucoup de Dieu et le prient parfois, mais ne savent manifestement pas qui Il est. « La crainte du Seigneur est une source de vie » (Proverbes 14 v. 27), mais cette crainte qui guérit est aujourd’hui difficile à trouver parmi les chrétiens.
Un jour, dans une conversation avec son ami Eckermann, le poète Goethe aborda la question de la religion et parla de l’abus du nom divin. « Les hommes le traitent, dit-il, comme si cet Être incompréhensible et suprême, qui est même au-delà de la portée de la pensée, était seulement leur égal. Autrement, ils ne diraient pas « le Seigneur Dieu, le Dieu bien-aimé, le Dieu bon ». Cette expression devient pour eux, surtout pour les ecclésiastiques, qui l’ont tous les jours dans la bouche, une simple phrase, un nom stérile, auquel aucune pensée ne s’attache. S’ils étaient impressionnés par sa grandeur, ils seraient muets et, par vénération, ne voudraient pas le nommer ! »
Crainte de Dieu : Voir Proverbes 1 v. 7 et 29 ; 2 v. 2 à 6 ; 14 v. 26 et 27.
Extraits « du chapitre 13, la transcendance divine » issu du livre Knowledge of the Holy (La connaissance du Saint) de A.W. Tozer (écrit en 1962).
Connaissons-nous la crainte de Dieu ? a été créé par Frédéric
Quand le psalmiste vit la transgression du méchant, son cœur lui dit comment cela pouvait être. « Il n’y a pas de crainte de Dieu devant ses yeux » (Psaume 36 v. 1) ; expliqua-t-il, et en disant cela, il nous révéla la psychologie du péché. Lorsque les hommes ne craignent plus Dieu, ils transgressent ses lois sans hésitation. La peur des conséquences n’est pas dissuasive lorsque la crainte de Dieu a disparu.
Autrefois, on disait des hommes de foi qu’ils « marchaient dans la crainte de Dieu » et qu’ils « servaient le Seigneur avec crainte ». Quelle que soit l’intimité de leur communion avec Dieu, peu importe l’audace de leurs prières, à la base de leur vie religieuse se trouvait la conception d’un Dieu impressionnant et redoutable. Cette idée d’un Dieu transcendant transparaît dans toute la Bible et donne couleur et ton au caractère des saints. Cette crainte de Dieu était plus qu’une appréhension naturelle du danger ; c’était une crainte irrationnelle, un sentiment aigu d’insuffisance personnelle dans la présence de Dieu le Tout-Puissant.
Partout où Dieu est apparu aux hommes dans les temps bibliques, les résultats ont été les mêmes : un sentiment écrasant de terreur et de consternation, une sensation déchirante de péché et de culpabilité.
Quand Dieu parlait, Abram s’étendait par terre pour écouter (Genèse 17 v. 3 et 17). Quand Moïse vit le Seigneur dans le buisson ardent, il cacha son visage par crainte pour regarder Dieu (Exode 3 v. 6). La vision de Dieu qu’Ésaïe avait de lui, le fit s’écrier : « Malheur à moi ! » et confesser : « Je suis perdu, car je suis un homme aux lèvres impures » (Ésaïe 6).
La rencontre de Daniel avec Dieu fut probablement la plus terrible et la plus merveilleuse de toutes. Le prophète leva les yeux et vit Celui dont le « corps était comme du chrysolithe, et son visage comme l’aspect d’un éclair, et ses yeux comme des lampes de feu, et ses bras et ses pieds comme de l’airain poli, et la voix de ses paroles comme la voix d’une multitude ». « Moi, Daniel, je vis seul la vision », écrivit-il plus tard, « car les hommes qui étaient avec moi ne virent pas la vision ; mais un grand tremblement tomba sur eux, de sorte qu’ils s’enfuirent pour se cacher. Je restai donc seul, et je vis cette grande vision, et il ne me resta plus aucune force, car ma beauté fut changée en corruption, et je n’avais plus de force. J’entendis cependant la voix de ses paroles ; et quand j’entendis la voix de ses paroles, je tombai dans un profond sommeil, la face contre terre » (Daniel 10 v. 7 à 9).
Ces expériences montrent qu'une vision de la transcendance divine met rapidement fin à toute controverse entre l'homme et son Dieu. L’homme ne se bat plus et il est prêt, comme Saul vaincu, à demander docilement : « Seigneur, que veux-tu que je fasse ? » (Actes 9 v. 6).
À l’inverse, l’assurance des chrétiens modernes, la légèreté fondamentale présente dans tant de nos rassemblements religieux, le manque de respect choquant démontré envers la personne de Dieu, sont des preuves suffisantes d’un profond aveuglement du cœur.
Beaucoup se réclament du nom de Christ, parlent beaucoup de Dieu et le prient parfois, mais ne savent manifestement pas qui Il est. « La crainte du Seigneur est une source de vie » (Proverbes 14 v. 27), mais cette crainte qui guérit est aujourd’hui difficile à trouver parmi les chrétiens.
Un jour, dans une conversation avec son ami Eckermann, le poète Goethe aborda la question de la religion et parla de l’abus du nom divin. « Les hommes le traitent, dit-il, comme si cet Être incompréhensible et suprême, qui est même au-delà de la portée de la pensée, était seulement leur égal. Autrement, ils ne diraient pas « le Seigneur Dieu, le Dieu bien-aimé, le Dieu bon ». Cette expression devient pour eux, surtout pour les ecclésiastiques, qui l’ont tous les jours dans la bouche, une simple phrase, un nom stérile, auquel aucune pensée ne s’attache. S’ils étaient impressionnés par sa grandeur, ils seraient muets et, par vénération, ne voudraient pas le nommer ! »
Crainte de Dieu : Voir Proverbes 1 v. 7 et 29 ; 2 v. 2 à 6 ; 14 v. 26 et 27.
Extraits « du chapitre 13, la transcendance divine » issu du livre Knowledge of the Holy (La connaissance du Saint) de A.W. Tozer (écrit en 1962).
Dieu murmure à l'âme qui l'écoute, son souffle est promesse et lumière. Ouvrez votre cœur, car sa voix fortifie et ses réponses apaisent. Tournez votre cœur vers Dieu, parce qu'Il parle et veut vous guider !
« Invoque-moi, et je te répondrai » (Jérémie 33:3).
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